Qui suis-je ?

Quelques mots saupoudré sur mon égo

Je ne sais ce qui m'anime ici et ailleurs. Je ne crois que lorsque j'ai des raisons de ne plus avoir ce choix, car la certitude incomplète est la forme la plus proche d'une pure certitude. Mes mots m'apparaissent au moins aussi étrangers qu'à vous, et j'en suis désastré. C'est un tellurisme que j'exprime par ma sismique, mais je ne suis pas incompris. Ces improbabilités médullosurrénales envahissent mon cosmos et je ne peux que les faire exister pour prouver une valeur.

Alors légitime l'incantation des estimations millésimes d'irascibilité indicible.

Nous mènes-tu ? Posez-moi la question je n'ai pas la réponse mais si j'imagine à l'envers alors le processus correspond. Des matchs comme ils disent dans la stratosphère de mes crémations. On aurait un terrain d'entente différentiel. Où partenairent des illusions complémentaires compromises par l'effet diamantaire des tribulations fragmentaires éphémères mais prospères jusqu'à l'ère...

Je ne suis pas pro fessée, mais j'aime quand ça claque de vérité, cherche le si dans mon conditionnel il n'est que télégraphié.

Protestation volontaire d'un bastion comploteur aux bestiaux amateurs de festin, je CopieColle la pensée sans chercher à la dénaturer. Par ma volonté j'accède à l'amortalité. C'est ainsi que naissent les banalités de demain que je me propose de demander au destin.

Improuvable, infalsifiable.

Ma musique mesure mes mots.

Encore un petit peu et je continues de déblatérer mon saignement verbal qui s'exprime sans vocale parce que je pèterais un câble si mes neurones entraient dans cet état stable que je soutiendrai jusqu'à son passage au moins pour tester ses moindres rouages.

Encore.

Tellurique.

Sisimique.

C'est moi pour l'instant.